Félix Jousserand traduit un recueil de la poétesse Morgan Parker

Félix Jousserand, pensionnaire 2020-2021, réalise et publie la traduction du recueil de la poétesse américaine Morgan Parker Il n’y a pas que Beyoncé aux éditions Au Diable Vauvert. 

Entre narration personnelle et critique culturelle poétique et politique, Morgan Parker confronte société de consommation, médias et féminisme, tissant habilement son histoire personnelle avec la pop culture. 

S’inscrivant dans la lignée d’artistes tels que Jim Elledge ou Dorothea Lasky, les textes de Morgan Parker s’enrichissent d’une portée politique, puisqu’elle dirige, avec son amie Angel Nafis, le collectif The Other Black Girl, un duo de poésie féministe noire se produisant à l’international. Détentrice du prix Pushcart, sa poésie et ses essais sont publiés dans de nombreux journaux de renom, dont le New York Times. Porteuse d’un discours décomplexé sur l’identité noire, elle maîtrise l’art d’incorporer la pop culture à l’expérience de la négritude. Il n’y a pas que Beyoncé est son œuvre la plus célèbre.